Bonne nouvelle vos points forts pourraient bien être la clé de votre motivation et de votre engagement ! La quête de sens devrait-elle débuter par un audit de nos qualités ? Prêt à tout miser sur ce que vous faites le mieux ? Un GOOD Vibes à impact avec Antoine Carpentier, auteur de "Libérez vos points forts !".Lorsqu'on est aligné avec les qualités que l'on possède, on est aussi probablement beaucoup plus motivé à faire les choses.
On se sent d'ailleurs poussé par une force.
On ne se sent pas être en devoir.
On se sent plutôt être en train de faire ce que, spontanément, on a envie de faire.La clé de la motivation et de l'engagement se cacherait-elle dans la culture de nos points forts ?
Pour Antoine Carpentier, il est temps de l'accepter, nos manières de faire et d'être sont uniques !
Misons sur nos points forts pour trouver la bonne place : celle qui a du sens.On est persuadé souvent que tout le monde possède les mêmes qualités que nous.
On ne se rend plus compte que les qualités que l'on possède font en fait notre différence, nous distinguent des autres et que d'ailleurs, si on les investissait davantage, si on les creusait davantage, si on les travaillait davantage, on pourrait réellement en faire presque plus qu'un levier d'efficacité, mais aussi une façon d'être au sens presque social du terme et m'amener à être reconnu non plus pour les défauts que j'ai, mais au contraire, défini au travers de mes qualités, de mes talents, qui me permettent finalement d'être aux yeux des autres.
Plus on travaille ses qualités, plus finalement, on réussit à être ce qu'on est fier de pouvoir être dans le monde et à l'égard des autres.
Donc il y a finalement une manière d'accéder à presque à sa différence, à ce qui nous distingue des autres par le chemin des points forts.
Et puis, il y a peut-être même encore un autre point au-delà de ça, qui me semble être quelque chose qui touche la notion de sens.
Développer son point fort, je pense que c'est se mettre en capacité de trouver du sens peut-être à sa vie professionnelle.
Mais même peut-être au-delà de ça, à son existence, c'est-à-dire de se dire finalement : "qu'est-ce que je vais pouvoir apporter au monde commun que j'ai de meilleur à donner ?"
Je pense que cette part de soi, c'est justement les qualités que je possède et dont je pense qu'elles pourraient servir aux autres, à la condition d'en avoir pris conscience, à la condition d'avoir aussi pris conscience que cette qualité n'était peut-être pas aussi répandue que je pouvais le croire.
Et puis, à la condition de l'avoir travaillée pour apporter quelque chose qui, effectivement, a de la valeur.
On a peut-être des gens, là, autour de nous qui sont un peu dans leur truc et qui oublient que finalement, une société pourrait aller bien quand à un moment donné, chacun se sent pouvoir apporter, créer un espace dans lequel il va donner le meilleur de lui-même.
Pour lui-même, parce que ça lui fait du bien et qu'il s'épanouit en faisant ça, mais pour les autres, parce que ça a une valeur au sens où les autres ne sont pas capables d'apporter ce que lui apporte.